Abidjan à moitié paralysé par les gbakas.
30 septembre 2014
Depuis le dimanche 28 septembre, je suis terré à la maison. Effrayé non plus par des armes( le pays vit dans la paix), mais par l’effort physique. Prétendu citadin bourgeois à l’embonpoint flagrant, je me déplace rarement à pied. J’ai de quoi ne pas prendre le bus ‘(trop bondé) mais pas assez pour le taxi. J’utilise alors les gbakas[1]. Mais les gbakas sont en grève. Ils refusent de travailler.…